Le saviez-vous du 01/11/2021

En fonction de nos besoins fondamentaux et de nos expériences de vie, nous ne communiquons pas tous de la même façon.

Quelques exemples :

– Celui classique du petit garçon qui pleure parce qu’il a peur et à qui l’on dit qu’un garçon ne pleure pas. Par contre lorsqu’il se met en colère, il est considéré comme un vrai petit mec. Chaque fois qu’il aura peur, il se mettra en colère, à nos yeux il sera du type Conquérant

– L’enfant qui tombe, exprime spontanément sa douleur et à qui on dit : « mais non, tu n’as pas mal ».Il n’exprimera plus sa douleur puisqu’il n’y a personne pour la recueillir jusqu’à ne plus savoir l’exprimer. Adulte, il perdra le contact avec ses émotions.

ou autre exemple :

L’enfant qui voit que la reconnaissance dont il a besoin est conditionnée : « Si tu m’aimais vraiment, tu ferais ceci ou tu ne ferais pas cela »…!

Nous le classifions : Syntonique.

– L’enfant à qui l’on fait de nombreuses promesses qui ne sont pas tenues. Il intègre qu’il ne peut pas faire confiance. Il n’attend rien de personne.
Nous le classifions : Vigilant.

Au final, selon le type de reconnaissance que nous avons ou non obtenue, chacun à une représentation de ce qu’il est par rapport aux autres, de ce que les autres sont par rapport à lui et de ce qui lui semble possible de faire de positif avec les autres.
NOUS NOUS ATTRIBUONS UNE VALEUR qui est à la l’origine du type de communication que nous allons établir avec les autres. Il s’agit ici de la structure profonde de notre personnalité qui se révèle dans les situations de stress Nous avons ainsi une position favorite existentielle (nos croyances profondes) mais nous pouvons tout à fait adopter en fonction des situations de vie, chacune des 3 figures d’autorité, qui sont alors des positions sociales.